Le prêt in fine présente des particularités de par son mode de remboursement, sa durée et son montant, différent des autres prêts. C’est un type de prêt très avantageux tant pour l’emprunteur, du point de vue fiscal que pour ses héritiers en cas de décès durant la période de l’emprunt. Vous pouvez vous recourir à www.prets-immobiliers.org/ pour mieux vous renseigner
Le prêt in fine dans son ensemble
Le prêt in fine concerne surtout les investisseurs locatifs qui cherchent à financer un bien immobilier destinés à la location, mais d’un autre côté, il permet aussi d’acquérir une résidence secondaire. La durée de ce prêt in fine peut aller jusqu’à une période de 3 à 15ans, ce qui est très avantageux pour l’emprunteur car le capitale reste intacte jusqu’au terme du crédit et de l’échéance et le remboursement se fait en une seule fois. En ce qui concerne le montant, le minimum est de 21 500€, et il n’y a pas de montant maximum.
Mécanisme de remboursement du prêt in fine
A la différence du prêt immobilier classique, dont le remboursement est mensuel et modulable, le prêt in fine est un prêt avec un remboursement effectué en deux étapes : pendant toute la durée du prêt, l’emprunteur ne rembourse mensuellement que les intérêts de l’emprunt et le capital emprunté n’est remboursable qu’au terme de cet emprunt et en une seule fois. Il est donc très favorable aux investisseurs qui souhaitent financer un bien immobilier destiné à la location car ils pourront déduire de leurs revenus locatifs les intérêts d’emprunts dont le montant total est plus élevé que pour un prêt classique.
Les privilèges d’un prêt in fine
Le prêt in fine présente des avantages en matières fiscales car le capitale reste identique et non amortie jusqu’ au terme du crédit, autrement dit, le montant total des intérêts payés est beaucoup plus important et plus le montant total des intérêts déductibles est important plus l’opération est rentable sur le plan fiscale. Ce qui n’est pas le cas pour un prêt amortissable classique. En plus, il y a des garanties exigées par le prêteur comme la souscription d’une assurance invalidité-décès qui doit couvrir non seulement les mensualités mais aussi la capitale empruntée. Ainsi, en cas de décès de l’emprunteur au cours du prêt, son assurance décès remboursera la banque et les héritiers récupèreront un logement totalement payé et l’assurance-vie bénéficie du régime de transmission hors succession.